terre en danger

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Le 11 septembre

1. Aux États-Unis, « Les Scientifiques pour la vérité sur le 11 septembre » (Scholars for 9/11 Truth), contestent la version officielle des attentats du 11 septembre, qui selon eux, « viole les principes de la physique et de l’ingénierie ».

Après plusieurs années de recherche, de publication d’articles et de livres, cette association d’universitaires, regroupant des personnalités du monde scientifique et militaire, est persuadé que le World Trade Center n’a pu être détruit que par démolition contrôlée.

Leurs enquêtes les ont convaincu que le gouvernement états-unien n’était pas seulement au courant de ces attentats, mais les a planifié. Ils tentent désormais par tous les moyens d’informer leur peuple par l’organisation de conférences et la diffusion d’articles.

 

2. Il y a bien eu une conspiration, bien réelle, concernant le 11-Septembre : un groupe de comploteurs (George W.B., Dick C., Donald R…) a instrumentalisé des attaques contre le World Trade Center et le Pentagone pour « vendre » à l'opinion l'invasion de l'Irak, alors même qu'ils n'avaient aucune preuve d'aucun lien entre les attentats et Saddam Hussein. C'est l'un des plus grands et des plus machiavéliques complot de tous les temps.

Mais cela ne suffit pas aux amateurs de théories conspirationnistes. Pour certains d'entre eux, le 11-Septembre est un « boulot préparé de l'intérieur » (« an inside job »).

Cette théorie est née dès après les attentats, et sa popularité ne faiblit pas. Elle a surfé, pendant les années Bush, sur l'antiaméricanisme ambiant. Pour quiconque voit les Etats-Unis la grande puissance du mal, il est en effet très difficile d'intégrer les attentats du 11-Septembre dans le tableau. Comment croire que les Américains, ces bourreaux, aient pu être de simples victimes ? Cela ne colle pas.

 

3.   

 

11 septembre 2001 : les tours jumelles se seraient effondrées suite à une explosion (expert)

 

Les tours jumelles du World Trade Center de New York se sont effondrées suite à des explosions, et non pas en raison de l’incendie qui s’est déclenché après que les avions détournés par les terroristes se sont écrasés sur le bâtiment, selon un groupe d’experts.

 

 

"L’affaissement des tours jumelles possède toutes les caractéristiques d’un effondrement dû à une explosion, et rien ne laisse penser qu’il ait été provoqué par un incendie", ont affirmé les experts du groupe "Architectes et ingénieurs pour la vérité sur les attentats du 11 septembre". Auparavant, l’enquête avait conclu que l’incendie avait provoqué l’effondrement des tours.

Selon les experts, le fait que les tours se sont effondrées très rapidement confirme la version selon laquelle les tours ont explosé après le choc provoqué par les avions

En outre, les bruits d’explosions à l’endroit de l’impact des avions ont duré une seconde et des éclairs étaient visibles, ce dont peuvent témoigner les 118 personnes interrogées ainsi que des journalistes.

La pulvérisation du béton dans les airs, les nuages de poussière et le fait que les structures des bâtiments n’ont pas empêché l’effondrement, "qui s’est produit en chute libre", confirment également le fait que les tours jumelles ont explosé. En outre, selon les experts, c’est ce dont témoigne également l’onde de choc qui s’est étendue jusqu’à cent mètres du point d’impact, et la destruction presque intégrale des bâtiments.

Sur le lieu de l’effondrement, sous les décombres, les pompiers ont découvert des tonnes de métal fondu et figé, ce qui ne pouvait avoir lieu que suite à l’utilisation d’un mélange explosif contenant de la thermite.

En outre, le professeur Steven Jones a découvert des traces de thermite, matière utilisée dans l’armée, dans le métal figé et dans les prélèvements de poussière réalisés sur le lieu de l’effondrement des tours.

Les experts du département américain de déminage ont noté une oxydation et une fusion inter-granulaire extrêmement rapide du métal.

 

 

 

La théorie de l’explosion est encore confirmée par le fait qu’environ mille corps n’ont pas été retrouvés, et que 700 fragments d’os ont été découverts sur les bâtiments environnants. De plus, pas un seul cas de destructions liées à l’incendie n’a été recensé.



31/10/2010
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